Il pianote doucement
La cambrure de mon dos.
Il me parle lentement,
Je le prends par l’épaule.
A la nuit on dérobe
Un instant plein de joie.
Il fait zipper ma robe,
Il se sert contre moi.
Je respire sa peau
Pour m’imprégner de lui.
Caressant de mes doigts
Son visage qui sourit.
Détachant un à un
De son pull les boutons.
Dans le creux de ses reins
S’achève notre chanson.
Janvier 2011
Commentaires
Très agréable à lire effectivement, un goût tendre amer
merci Ysangrin
j'aime beaucoup tes poèmes ils sont un peu mélancoliques mais très agréables à lire
moi j'ai un site sur skyrock mais là je ne me souviens plus du nom mdr
bisous d'ysangrin